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par Jude Jacob Kayton mars 03, 2020
À propos de Kelita
Kelita Zupancic est née à Whitby, en Ontario, au Canada. Elle est une judoka olympique qui a participé aux Jeux olympiques de Londres en 2012 et de Rio en 2016 et a remporté des médailles d'or pour le Canada aux championnats panaméricains de judo de 2010, 2013 et 2015.
Mon parcours en tant que judoka
J'ai commencé à pratiquer le judo parce que mon père était ceinture noire. Quand j'étais petite, je le regardais et j'ai commencé le judo à 5 ans, c'est le plus tôt possible. Il y a beaucoup d'athlètes olympiques dans ma ville, Whitby, en Ontario, au Canada ; c'est une grande ville sportive. Mon chemin vers le judo s'est fait naturellement ; j'ai toujours été forte, même quand j'étais petite, et j'ai toujours été très compétitive.
Les Jeux olympiques de Sydney en 2000 sont les premiers dont je me souviens vraiment. Nicolas Gill , l'homme qui m'a ensuite entraîné pour les Jeux olympiques de Londres et de Rio, a remporté une médaille d'argent en judo dans la catégorie des poids mi-lourds cette année-là. Le fait de voir qu'il était possible pour un Canadien de remporter une médaille olympique a eu une énorme influence sur moi. À l'école cette année-là, nous avons dû écrire des autobiographies et y inclure nos projets de carrière. J'ai su alors que je voulais participer aux Jeux olympiques.
Entraînement pour les Jeux Olympiques
L'entraînement est une activité qui prend tout son temps, c'est un style de vie et il n'y a pas de jours de repos. Je pense que c'est comparable à la gestion de sa propre entreprise : on n'en fait jamais assez. En judo, il n'y a pas de saisons, donc on s'entraîne toute l'année. De plus, je voyage au moins 6 mois par an. J'ai appris à surmonter le mal du pays dès mon plus jeune âge.
En ce moment, je m'entraîne 2 à 3 fois par jour. Cela comprend de la musculation, des séances de cardio, des séances techniques de judo, des exercices et des combats. Le judo est un sport intéressant, car il exige de la puissance, de la force, de la vitesse et de l'endurance. En gros, il faut être polyvalent. Mon plus grand souci est d'avoir un corps équilibré, car au combat, c'est le point le plus faible qui se brise en premier.
Sur le bonheur
La préparation à une compétition implique une préparation mentale importante. Je consulte un psychologue chaque semaine et un professeur de méditation tous les jours. J'essaie de garder une routine de méditation simple et de méditer 20 minutes par jour. Je médite généralement dans une baignoire si j'en ai une, mais sinon, j'utilise une pièce calme avec de la musique de méditation et une bougie. Je préfère le faire le soir avant de me coucher. Lorsque je médite, j'augmente mon niveau de bonheur et de joie. Plus je me sens heureux, plus je suis performant. En tant qu'athlète, il est important de créer des routines et méditer régulièrement fait partie de l'entraînement.
L'entraînement est très différent pour les hommes et les femmes. Les femmes ne font pas de distinction entre l'entraînement et la vie personnelle, il est donc important pour nous d'équilibrer tous les aspects de notre vie.
Nous avons besoin d'un entraîneur qui se soucie non seulement de nous en tant qu'athlètes, mais aussi en tant que personnes. Mon copain m'entraîne, nous passons donc beaucoup de temps à comparer nos idées, à déterminer la meilleure façon de nous entraîner et à développer des stratégies. Je crois que les femmes naissent et que les hommes se font. Les athlètes féminines doivent avoir l'espace pour être vues et entendues, et ensuite, nous nous sentons autonomes. Si un entraîneur ne donne pas aux athlètes féminines cet espace pour s'exprimer, elles se sentiront démunies et leur performance reflétera ces sentiments.
Mes moments de plus grande fierté
Renforcer la résilience
La méditation est la clé, mais il est aussi important de s'entourer de personnes qui nous donnent du recul : entraîneurs, amis, parents, psychologue, etc. Ces personnes nous sortent de la spirale de nos pensées et nous rappellent qu'il y a plus dans la vie que de faire du judo. C'est vraiment une question de recul et il est important de trouver un équilibre et de se libérer de la pression. N'oubliez pas : vous êtes bien plus que ce que vous faites ! En tant que femmes, nous sommes perfectionnistes et nous sommes dures avec nous-mêmes.
Deuxièmement, il est essentiel d'accueillir un état de gratitude et d'accepter réellement ce sentiment, surtout lorsque l'on traverse une période difficile. J'essaie de combiner cet état de gratitude avec le sentiment d'espoir. Si je ne ressens pas ces émotions, je ne suis pas en phase ; la gratitude et l'espoir me ramènent à un état d'équilibre.
Transpirer et briller
La transpiration est tellement purifiante : elle libère des hormones et des substances chimiques qui vous font vous sentir bien. Il y a tellement de passion et de travail acharné derrière ma transpiration. J'adore transpirer : c'est un signe que je pousse mon corps et mon esprit à bout.
Pourquoi j'aime FRÉ
Mes plus grands défis pour garder ma peau sans défaut sont que les gens me touchent le visage et que je transpire constamment. Je suis également souvent photographiée et toutes les images sont sans maquillage, donc avoir une peau nette est vraiment important ; cela me donne confiance en moi.
J'ai la peau sèche, donc mes produits préférés sont les huiles I AM LOVE et GLOW BODY . À part DETOX ME que j'utilise tous les deux jours, j'utilise TOUS mes produits FRÉ au quotidien : matin, soir et entre les deux ! J'aime la façon dont FRÉ soutient les femmes qui transpirent, créant ainsi une confiance autour de l'athlétisme.
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